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Parfois, la seule façon de lutter contre la nature est avec la nature - du moins c'est ce que ces communautés intelligentes ont fait. Lorsqu'une rivière s'est mise en travers d'une route, les habitants se sont tournés vers les arbres pour créer les passerelles les plus solides (et les plus jolies).
Comme l'endroit le plus humide de la terre, Meghalaya, Inde nécessite des techniques de construction créatives. L'État du nord-est reçoit plus de 450 pouces de pluie chaque année - c'est plus grand qu'un immeuble de trois étages.
Les villageois locaux devaient ériger des ponts qui pourraient résister à de puissantes moussons, alors ils se sont tournés vers les ressources naturelles uniques de la région qui ont résisté à l'épreuve du temps. Selon BBC, les ponts d'hévéas de Meghalaya existent depuis plus de 150 ans.
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Cela peut prendre des décennies avant que la structure puisse supporter le poids d'une personne, mais le processus de croissance offre un avantage unique. Après avoir guidé les racines avec des troncs d'arbres tombés (et maintenant du fil), l'architecture vivante ne fait que se renforcer chaque année.
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Alors que vous trouverez de nombreux ponts vivants dans cette forêt tropicale, le pont à deux étages d'Umshiang est le viaduc le plus célèbre. Ce monument spectaculaire n'est accessible qu'à pied, mais les résidents travaillent à un troisième niveau pour attirer plus de tourisme.
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Pour en savoir plus sur cet incroyable monument, regardez cette vidéo de Grande grande histoire:
L'Inde n'est cependant pas le seul foyer de ponts vivants. En Indonésie, le Membres de la tribu Baduy croire à vivre en étroite collaboration avec la nature, et leur religion unique a abouti à ces plates-formes complexes.
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Le clan est tellement dévoué à son héritage qu'il refuse d'adopter la technologie moderne, dont l'électricité.
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Sur une autre île, un pont racine relie deux villages séparés par la rivière Bayang. Selon le Huffington Post, un enseignant musulman voulait que ses élèves assistent plus facilement aux cours, mais de forts courants cassaient fréquemment le vieux pont de bambou. Il planta des banians en 1890 et attendit patiemment que les branches enjambent les berges.
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Il a fallu 26 ans avant que le chevalet de 82 pieds ne devienne suffisamment solide, mais ses branches fortifiées supportent désormais de nombreux visiteurs.
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[H / T Grande grande histoire